Vous êtes bien sur la radio inzamba agateka kawe, voici les titres de l’actualité de ce jeudi 6 mars 2025.
- Les militaires retraites de fin 2024 se lamentent, ils n’ont pas eu leurs frais de pensions depuis le mois de janvier de cette année.
- Et le centre pour le renforcement de l’éducation et du développement de la jeunesse CREDEJ s’inscrit en faux contre les entrainements paramilitaires des jeunes imbonerakure dans certains cois du pays et les discours de la haine de certaines autorités du pays a la veille des élections, le Credej estime que tous ces actes peuvent avoir des conséquences mauvaises sur le pays si on n’y prend pas garde.
- Pénurie du sucre depuis plus de deux semaines à Rumonge, les musulmans en jeun se lamentent.
Voilà pour le sommaire, bienvenue à toutes et à tous.
Bienvenue encore une fois dans ce journal c’est la grogne chez les militaires qui ont été envoyés à la retraite en 2024. Ils disent que jusqu’à maintenant ils n’ont pas encore perçu leurs indemnités de fin de mandat prévu par la loi. Ils demandent qu’ils soient rétablis dans leurs droits. Les détails avec jean Baptiste Bireha
Le centre pour le renforcement de l’éducation et du développement de la jeunesse CREDEJ se dit préoccupé par les actes de violences des jeunes Imbonerakure et les entrainements paramilitaires constates ici et là à travers le pays. Arcene Arakaza, président du CREDEJ explique ces actes peuvent mettre en danger le pays si rien n’est fait. Il demande à ces jeunes de changer de comportement et éviter d’être instrumentaliser par les politiciens. Ecoutez
Dans la suite ce journal nous parlons de cette pénurie du sucre depuis deux semaines au chef-lieu de la province Rumonge. Les habitants et surtout les musulmans en période de jeun qui en sentent beaucoup le besoin, se lamentent et peinent à trouver ce produit dont le prix du kilo est aujourd’hui entre 10 et 15 mille francs burundais. Ils demandent aux autorités compétentes de chercher une solution à ce problème. On fait le point avec Pacifique Nkeshimana.
De Rumonge a Kayanza les conséquences commencent à se manifester chez 300 familles victimes de spoliation des terres sur la colline Gitwe en commune Matongo de la province Kayanza. Elles vivent actuellement dans des conditions difficiles et par conséquent leurs enfants abandonnent l’école pour aller chercher du travail dans différentes villes du pays. Ces familles ont été chassées de leurs terres en fin de l’année dernière. Plus de détails avec Audace Nimbona
Merci Audace Nimbona et pour clore ce journal nous revenons sur cet appel de SOS TORTURE BURUNDI sur les abus de pourvoir de certains administratifs dans leur travail de tous les jours, suivez…
Voila c’est la fin de ce journal, merci de l’avoir suivi, au revoir.
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