Dans le mini-magazine « Au cœur de la Société » d’aujourd’hui, nous allons revenir sur le discours du président Evariste Ndayishimiye à l’assemblée générale de l’ONU lorsqu’il a réclamé un soutien international pour combattre le terrorisme. Une bonne chose certes, mais le pouvoir gagnerait à accepter de dialoguer avec tous les acteurs politiques et civiles. C’est ce que préconise Pierre Claver Mbonimpa, président de l’APRODH.