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Bulletin Hebdo du 23 Mars 2025

Publié le 23 mars 2025 par Rédaction

Bienvenue à toutes et à tous à cette rétrospective de l’actualité qui a marqué cette semaine qui s’achève ce dimanche 23 mars 2025. A la présentation, Audace Nimbona

Justice pour commencer. Trois personnes d’une même famille, dont deux candidats officiers de police, sont en détention depuis plus d’un mois dans les cachots du Service national de renseignements. Elles sont accusées d’avoir échangé des messages sur un groupe WhatsApp, en rapport avec la guerre en RDC. Leurs familles dénoncent une injustice. Les détails avec Pacifique Nkeshimana.

Merci à toi Pacifique Nkeshimana. Les anciens adeptes d’Eusébie Ngendakumana, résidant dans le quartier Gatunguru en mairie de Bujumbura, vivent dans une peur panique face aux persécutions dont ils sont victimes, des persécutions perpétrées par des jeunes Imbonerakure et par la police. Ils dénoncent l’enlèvement et l’assassinat de certains d’entre eux par des agents du Service national de renseignements, au cours de ce mois de mars. Craignant d’être à leur tour enlevés ou tués, ils appellent les autorités à garantir leur sécurité. Les détails avec Parfait Mudasigana.

Merci aussi Parfait Mudasigana, l’actualité continue avec  ce drame qui a secoué la communauté des réfugiés burundais en République unie de Tanzanie. Un corps sans vie d’un certain Rémy Ndayikeza, réfugié burundais et vendeur de viande au camp de Nduta , a été retrouvé ce mardi, plus d’une semaine après sa disparition. Face à cette tragédie, les réfugiés demandent avec insistance l’ouverture d’une enquête afin que justice soit rendue. Les précisions avec Jean Georges Kibogora.

C’est également un grand merci à Jean Georges Kibogora, après une courte pause, l’actualité continue

Il s’observe aujourd’hui une pénurie du charbon de cuisine dans la mairie de Bujumbura. Les prix de ce produit montent de façon exponentielle. Un demi-sac de charbon de cuisine s’achète entre 75 000 et 80 000 Francs. La population urbaine demande à l’autorité compétente de suivre de près cette question. Jean Baptiste Bireha nous en dit plus.

Toujours page économie avant de clore. La liberté économique est bien loin d’être une réalité au Burundi. Le gouvernement prend chaque fois des mesures qui entravent cette liberté. C’est le constat fait par l’ONG locale PARCEM, qui se base sur le dernier rapport qui classe le Burundi parmi les derniers pays d’Afrique en matière de la liberté économique. Faustin Ndikumana directeur national de la PARCEM, indique que les mesures barrières devenues nombreuses au Burundi, compliquent les choses  dans ce domaine. Ecoutez  Faustin Ndikumana

 

Cet expert en économie estime qu’on devrait organiser les états généraux sur la liberté économique pour mettre en place une bonne politique visant à enlever ces barrières qui empêchent l’économie burundaise de se développer. Encore une fois Faustin Ndikumana

Et voilà. C’est par cette analyse de Faustin Ndikumana  expert en économie que s’achève l’actualité qui a marqué cette semaine, merci de votre aimable écoute, passez une bonne fin de week-end, au revoir.

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