I. Un homme d’une quarantaine d’années du nom de Dionèse alias Bikwakwara et originaire de la colline Bandaga en commune Matongo de la province Kayanza, a été tué à coup de poignard dans la nuit de ce vendredi à samedi. Le présumé auteur du crime s’appelle Jérémie Butigirira, un boucher exerçant dans cette même localité. Les témoins oculaires de l’incident disent que le présumé auteur du crime avait passé la journée en se disputant avec pas mal d’autres personnes. Ces informations sont confirmées par l’administration. Pour le moment, le présumé auteur de ce crime est entre les mains de la police pour des raisons d’enquêtes.

II. Les musulmans du monde entier ont célébré la fête du mouton. Les musulmans de Bujumbura se sont rencontrés sur le terrain de la communauté islamique du Burundi COMIBU à Nyakabiga. Sheikh Hassan Nyamwero, président du conseil supérieur des sheikhs du Burundi a indiqué que c’est l’occasion pour tous les musulmans de se souvenir du jour du prophète Ibrahim qui a voulu offrir en sacrifice son fils Ismaël à Dieu, comme signe de dévotion.

III. Cette fête du mouton n’a pas été bien célébrée dans la province de Rumonge. Une tension entre les musulmans de cette province a éclaté après un malentendu sur le choix de la personne qui dirige la prière. Une partie des musulmans est rentrée tout au début de la prière. Une attitude que déplore le gouverneur de la province.

IV. Restons dans cette province de Rumonge pour vous dire que la distribution du sucre de la SOSUMO reste émaillée de plusieurs irrégularités selon les habitants de la commune Rumonge. Ils disent que toute la quantité qui leur était destinée n’a pas été distribuée. La population pointe du doigt les administratifs de cette commune et leur demande de couper court avec cette mauvaise habitude.

V. Et à Makamba, le personnel de la commune Nyanza-lac ainsi que les conseillers communaux dans cette province accusent l’administrateur de cette commune de licencier certains employés en violation de la loi. Ils disent que cela peut ternir l’image de la commune une fois que la justice trancherait en faveur des victimes.

VI. Les personnes vivant avec un handicap peuvent subvenir à leurs besoins sans mendier. C’est une explication d’une femme burundaise elle-même vivant avec un handicap. Elle réagit ainsi à la mesure de l’Etat qui interdit la mendicité dans les différentes villes du pays. Cette femme appelle toute personne handicapée à exploiter ses membres du corps qui sont solides afin qu’elle puisse gagner sa vie sans mendier.

VII. Cette femme condamne les personnes qui utilisent les enfants handicapés en les envoyant quémander pour leurs intérêts propres. Elle demande également à l’Etat de scolariser ces enfants pour qu’ils parviennent à se prendre en charge.

VIII. Les abandons scolaires se multiplient au camp des réfugiés de Lusenda en République Démocratique du Congo. Les réfugiés burundais disent que leurs enfants abandonnent l’école à cause du manque de moyens pour payer les frais scolaires. La situation est conséquente à la mesure prise en 2020 par le HCR qui avait payé seulement pour une catégorie d’élèves et écoliers. Les parents demandent à cette organisation onusienne de soutenir tous les enfants.

IX. Le mini-magazine « Au cœur de la Société » d’aujourd’hui  va se focaliser sur le test de niveau que les enseignants ont passé il n’y a pas longtemps.