I. Les membres du parti CNL continuent à être arrêtés ici et là dans le pays. Ce lundi, 3 de ces membres sont entre les mains de police en commune Gashikanwa de la province Ngozi, sur mandat d’amener du ministère public près du tribunal de grande instance de Ngozi. Les mobiles de l’arrestation ne sont pas élucidés.

II. Peur panique pour certains détenus politiques de la prison centrale de Rumonge dans la province de Rumonge. A l’origine, une information diffusée aux Radios, Kiyambu Gérard un détenu de cette maison carcérale a été blessé, battu avec des barres de fer par ses codétenus sur l’ordre du chargé de sécurité à l’intérieure de la prison. Les enquêtes ont commencé pour savoir qui a livré cette information aux différents médias pour le punir et lui retirer son téléphone.

III. La coalition burundaise pour la cour pénale internationale et le réseau des journalistes burundais pour la cour pénale internationale lancent une campagne de trois mois de sensibilisation des victimes de la crise au Burundi. Me Lambert NIGARURA, président de cette coalition indique que cette campagne vise à mobiliser les victimes et leurs familles sur leur rôle combien important dans la procédure devant la CPI.

IV. Le parti RANAC se prépare pour présenter un candidat aux présidentielles de 2020. Il compte cependant s’allier aux autres partis politiques pour faire un front commun enfin de renverser le pouvoir en place. Pour le président du parti RANAC Aloys Baricako ; la coalition politique est nécessaire dans ce jeu.