I. La cour constitutionnelle a validé, après recours, la candidature de l’ancien président Domitien Ndayizeye de la coalition Kira Burundi. Les candidatures de Valentin Kavakure, du parti FPN Imboneza et celle d’Anicet Niyonkuru du parti CDP n’ont pas été validées par cette cour.
II. Revoir à la hausse le nombre des observateurs nationaux et provinciaux au niveau des partis politiques, c’est la principale décision prise ce vendredi entre la CENI et tous les intervenants dans le processus électoral. La plupart des inquiétudes des partis politiques ont été levées.
III. Des champs de manioc, de riz, et de maïs ont été détruits et des porcs blessés à la machette, depuis dimanche dernier sur la colline Kigoma, de la commune Bugabira, dans la province de Kirundo. Ces actes qui se passent la nuit sont imputés aux jeunes IMBONERAKURE affiliés au parti au pouvoir. Les champs détruits sont ceux des membres du parti CNL dirigé par Agathon Rwasa. Un membre du parti CNL qui a témoigné à la radio inzamba a indiqué qu’ils ne resteront pas les bras croisés si rien n’est fait.
IV. Le mouvement d’actions patriotiques MAP BURUNDI-BUHIRE, déplore que presque tous les secteurs de la vie nationale soient complétement délabrés dans le pays. Il a initié une campagne de sensibilisation pour rebâtir un nouveau Burundi prospère. Libérat Ntibashirakandi, le porte-parole du mouvement MAP BURUNDI-BUHIRE.
V. L’organisation internationale de la francophonie souffle ses 50 bougies ce vendredi 20 mars. L’objectif des fondateurs de la Francophonie était de faire de la langue française, un outil de développement et de rapprochement des différents peuples du monde. Selon Louise Mushikiwabo, la secrétaire générale de l’OIF, l’objectif est resté le même 50 ans après la signature de la charte de 1970.
VI. En page éducation, vol d’examens dans les écoles post-fondamentales de la direction communale de l’éducation à Kayanza. La passation de ces examens avait eu lieu il y a environ une semaine. Les élèves présumés voleurs de ces examens sont pour le moment entre les mains de la police.