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Journal du 21 mai 2024

Publié le 21 mai 2024 par Rédaction
  1. Un homme a tué sa femme à la machette avant de se suicider. Selon des sources sur la colline Mabanda , ce double crime a eu lieu dans un ménage de la sous-colline Mudaturwa, colline et commune Mabanda. Le corps sans vie de la femme a été trouvé ce lundi sur la sous-colline Mudaturwa en colline et commune Mabanda.  Elle  a été tuée dans la nuit de samedi à dimanche.
  2. Une peine à perpétuité est le jugement prononcé dans l’après-midi de lundi par le tribunal de grande instance de Kayanza à l’endroit de quatre hommes originaires de la colline Busokoza, commune Butaganzwa et province Kayanza. Ils ont été reconnus coupables de l’assassinat perpétré dans la nuit du 10 mai contre un certain Epipode Yamuremye originaire de la même colline. Celui-ci a été tué alors qu’il venait de célébrer son mariage civil avec la sœur de l’un de ses assassins.
  3. Restons dans la justice pour parler de l’ancien Premier ministre Alain Guillaume Bunyoni qui va comparaitre en audience publique lundi prochain le 27 mai devant la Cour suprême. Il devra s’expliquer sur les 7 chefs d’accusation portés contre lui, entre autres le complot contre la vie du chef de l’Etat et l’atteinte à l’économie nationale.
  4. Ils demandent à la Commission paix et sécurité de l’Union africaine de plaider pour eux afin que le gouvernement burundais puisse procéder au décaissement de leurs arriérés de douze mois des indemnités ATMIS. Ce sont les militaires burundais en mission en Somalie sous l’étendard de l’Union africaine. Le dernier paiement remonte au mois de mai 2023, quelques jours après leur déploiement. Ce qui les inquiète le plus, ils disent qu’ils rentrent au pays avec une misère sans nom qui secoue leurs familles.
  5. Cap au nord du pays pour terminer. Il faut donner des pots-de-vin aux pompistes pour avoir du carburant en province Muyinga. Les habitants disent que quand cette province est approvisionnée, la corruption est la condition incontournable pour être servi. En plus ils affirment qu’on leur exige de payer plus que la vraie valeur du carburant obtenu.

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