I. A l’occasion de la Journée internationale de l’éducation célébrée chaque année en date du 24 janvier, le secrétaire général des Nations Unies rappelle que l’éducation est un droit humain fondamental. Pour Antonio Guterrès, l’éducation est le fondement des sociétés, des économies, et du potentiel de chaque personne. Mais il souligne qu’en l’absence d’investissements suffisants, ce potentiel finira par disparaître.

II. Entre temps, le mouvement d’actions patriotiques MAP Burundi Buhire constate avec amertume que l’éducation est toujours vacillante au Burundi. Ce mouvement trouve que les responsables politiques burundais n’ont pas de volonté pour développer ce secteur combien essentiel.

III. Grogne chez les transporteurs qui utilisent la route nationale numéro 11. Ils disent qu’ils travaillent à perte parce qu’une grande partie de cette route est en mauvais état, surtout du côté de Rutana vers Makamba, ce qui endommage leurs véhicules. Ils demandent à l’autorité habileté de réfectionner cette route.

IV. Les réfugiés burundais vivant dans le camp de Mulongwe en République Démocratique du Congo ne sont plus autorisés à faire du commerce à l’intérieur du camp, selon une décision prise hier lundi par le roitelet de la région. Seules les personnes handicapées peuvent continuer à faire ce commerce.

V. Au camp des réfugiés burundais de Nduta en Tanzanie, les craies manquent dans les écoles depuis le 5 janvier 2023, date qui a marqué le début de l’année scolaire en cours. Les enseignants qui ne font que dicter les notes affirment que la transmission des connaissances est quelque peu paralysée par ce manque de craies. Cette situation s’observe seulement dans les écoles pilotées par l’ONG International Rescue Committee, IRC.